Questions
Cette semaine, je vous pose deux questions et je ne doute pas que vous serez plusieurs à répondre. Est-ce que vous avez fait appliquer une protection antirouille sur votre véhicule récréatif ? Si oui, quel type, marque et année de VR possédez-vous ?
L’idée de connaître votre opinion m’est venue lors de la visite d’un centre de traitement antirouille dans le cadre de la préparation d’un article à être publié dans Camping Caravaning. Personnellement, je ne suis pas très enclin à faire bénéficier mes véhicules d’un tel traitement, d’autant plus que la fréquence à laquelle je les change est plutôt élevée. Pourtant, en me rendant chez Krown Vaudreuil, j’ai été forcé de laisser tomber certains de mes aprioris et à revoir mon opinion sur de tels traitements.
Dès mon arrivée sur place, les propriétaires, gentils et attentionnés comme rarement, m’ont expliqué en long et en large les avantages et bénéfices d’un tel traitement sans oublier, bien sûr les mérites de celui conçu par Krown.
L’application de l’antirouille se fait sous pression à l’aide d’un pistolet doté d’un tuyau long de presque un mètre et au bout duquel une buse aux orifices très fins force le liquide protecteur à sortir en gouttelettes si fines qu’elles ne sont pas sans rappeler les embruns d’une brume de mer. Projeté avec pressions, l’antirouille atteint facilement les moindres recoins sous le véhicule, à l’intérieur des portières ou dans le compartiment moteur.
Aucun endroit n’est oublié puisque Claire-Renée Michaud et Stéphane Renaud qui connaissent à fond la façon d’appliquer le produit se vérifient mutuellement pour s’assurer que tout le véhicule sera bien protégé. Lorsque le client est sur place, ces deux partenaires, propriétaires de Krown Vaudreuil et qui forment un couple dans la vie, prennent plaisir à expliquer les moindres détails concernant l’application de l’antirouille. L’article qui sera publié dans Camping Caravaning s’attardera d’ailleurs aux aspects techniques et aux bénéfices d’un tel traitement.
Je soulignais plus haut que cette rencontre m’avait ouvert à de nouvelles réalités. De tout temps, sans y avoir vraiment réfléchi, j’avais, comme tout le monde, toujours associé traitement antirouille à automobile, camion et, la limite, autocaravane. La route, la météo, les abrasifs utilisés l’hiver, le calcium ou encore le sel contenu dans l’air marin m’apparaissaient des facteurs pouvant justifier un antirouille.
Je n’avais jamais pensé inclure tout ce qui est tracté dans les véhicules visés. Pourtant, le dessous des roulottes, les tubulures de frein, les canalisations de propane, les fils électriques, le timon comportent beaucoup d’éléments souvent directement exposés aux contaminants et à l’humidité. Que de fois sur les forums des caravaniers font part de leurs inquiétudes devant un remisage prolongé sur une surface gazonnée ! Et si un traitement antirouille de qualité pouvait contribuer à protéger son investissement, combien hésiteraient y recourir ? Poser la question, c’est y répondre.
Je ne suis pas un spécialiste en matière d’antirouille, mais je dois avouer que les arguments apportés par les propriétaires de Krown Vaudreuil m’ont touché. Voilà pourquoi j’ai eu envie de vous poser les questions du début.
Je suis entièrement d’accort, d’un traitement anti rouille pour un auto, camion. Pour ce qui est Roulotte et Fifth-Wheel il n’y a pas grand chose a traité que le frame et les bars transversal sous sous le VR.
Pour un Motorisé classe A et B ce sera approprier.
Moi j’ai traité ce qui est en acier sous mon F.W. Ainsi que mon Camion.
Meland
Je trouve que l’inconvénient est le désagrément(graisseux) de ces produits quand tu dois travailler sur les parties traitées
oui c’est bon aussi pour la vermine qui est souvent dans le gazon(mulot) pour 100$ ça vaut la peine.
Je passe
Non,
Plus souvent qu’autrement c’est la carrosserie d’un véhicule qui est protégée.
Dans le cas des automobiles comme elles sont de type monocoque cela peut-être pertinent.
Dans le cas des motorisés de classe B ou de Classe C comme il y a des composantes en métal, cabine de pilotage ou fourgonnette cela peut-être pertinent.
Dans le cas des classes A je ne crois pas que ce soit le cas, car il n’y as que le châssis qui est en métal le reste du véhicule est en fibre de verre, donc pas de rouille. Les châssis de ces véhicule sont fait pour durer longtemps.
Georgetown Q357 2011.
J’ai eu deux motorisé de Classe B sur chassis GM que je n’ai jamais fait traiter. L’an dernier j’ai fait l’acquisition d’un Classe B 2014 sur chassis Sprinter et je le fais traité parce que j’ai l’intention de le garder pour plusieurs années, sans compter que c’est un argument positif lors de la revente. En tout cas j’ai pu l’expérimenter avec mes voitures. Demeurant à Gatineau, j’ai voulu le faire traiter par Antirouille Métropolitain mais le seul endroit était à Montréal et il fallait qu’il ne pleuve pas. J’ai alors trouvé un atelier Krown à Gatineau et l’avenir me dira si j’avais raison.
Je ne crois pas que ce soit nécessaire pour une unité tracée.
Ma fifth whell a bientôt 10 ans et depuis quelques années à l’inspection annuelle du dessous je gratte les parties du châssis où il y a de la rouille et je donne un coup de peinture noire en spray. Où la peinture est décollée sans rouille un coup de spray, c’est tout.
Et les parties mobiles comme les rails des extentions ou les pattes avants et arrières sont graissées ou huilées en malade 2 fois par année.
Il y a tellement peu de place à protéger dans le cas de ma fifth wheel à cause des trois réservoirs d’eau isolés que je trouve que ça serait de l’argent jeté par les fenêtre.
Avoir une unité motorisée je ne pense pas que je la ferais traiter non plus. Oui l’unité « pogne » de la pluie, oui l’unité fait face à de l’humidité mais ce n’est pas du calcium toute une saison et un petit soin annuel ferait l’affaire encore une fois…selon moi en tout cas.
Pourquoi mentionner Krown, plutôt que d’autres?
Une autre PUB gratuite pour probablement avoir reçu un service gratuit !
Je me suis toujours posé la question de l’effet de ces produits sur les matériaux isolants?
De mon expérience personnelle pour en avoir mis sur mon ancien motorisé, seul le chassis incluant les essieux et tables der suspension devraient être « huilés » de ces produits anti-rouille.
La problématique de ces traitements est lorsque on commence, on ne plus s’arrêter…en effet, point important non mentionné, est qu’il faut renouveler annuellement le traitement , si on veut bénéficier pleinement de la protection que cela peut nous apporter….si protection il y a?
À la base il faut bien admettre que si c’est gras ou huileux, ça ne rouillera jamais.
J’ai deja fait appliquer du Krown et je crois qu’apres 500 kilometres sous la pluie il ne restait rien de huileux pres des roues. Le meilleur antirouille est la peinture. Alors brosse d’acier et papier sable quand cela s’avere necessaire; apres 2 ans seulement etant donne la pietre qualite des peintures originale et l’etat de nos routes. Ensuite un appret puis une peinture du genre Tremclad ou Corostop. Aussi eviter de stationner sur le gazon pour de longues periodes comme au remisage par exemple a moins de mettre une bache sous le vehicule et non pas sur le toit du vehicule comme on voit souvent. Comme les VR ne sont pas tous crees egaux un dessous bien scelle retardera les besoins en entretien mais ca viendra quand meme car dommage il y aura un jour. A moins de camper dans la cour arriere
Ma question est la même que celle de Claude Lamarche: Pourquoi Krown?
Et dans le cas des véhicules, comme mon Tahoe, si je fais appliquer un anti-rouille, cela fait sauter la garantie de GM sur la carrosserie et les autres composantes de celui-ci.
Et c’était pareil sur la Camry de mon épouse.
Bye
On m’a dit que huile et caoutchouc ne faisait pas bon ménage ???
@ Daniel Lavoie, n’importe quel anti-rouille s’applique seulement sur des matériaux qui rouillent.
La semaine prochaine j’aurai droit à un antirouille gratuit car la ville repave notre rue ! :HIHIHI