L’art de l’essuyage
Fidèle à la coutume, en ce premier dimanche du mois, je vous présente aujourd’hui un produit que Michelle et moi avons découvert il y a seulement huit jours à la Foire du VR, Camping et Plein-Air de Québec. N’ayez crainte, à deux, nous avons amplement eu le temps de faire de nombreux tests pour déterminer s’il valait la peine de vous en parler.
Évidemment, vous comprenez que les résultats sont aussi positifs que probants, sinon, je n’aurais rien à en dire. Moi qui adore parler de caravaning et de véhicules récréatifs, voilà qu’aujourd’hui, je donne dans la guenille.
Surtout, ne voyez rien de péjoratif dans le mot guenille, je l’utilise simplement pour marquer l’écart entre mes habituels sujets de prédilection et celui d’aujourd’hui. Lisez-le plutôt comme si j’avais écrit tissu ou, mieux encore, étoffe de très grande qualité, car c’est bien de cela dont il s’agit. Je débute par une brève mise en contexte.
Deux amies, de la région du Saguenay – Lac-Saint-Jean, emmènent leurs enfants en camping pour des vacances. Malheureusement, durant plus d’une semaine, il pleut des cordes. Cela n’empêche pas la marmaille d’aller jouer dehors et de patauger à la plage. Chaque fois que les enfants reviennent à la caravane, c’est la course aux serviettes pour les assécher – et voilà où la guenille apparait dans l’histoire.
Ceux qui l’ont expérimenté savent combien il est difficile de faire sécher des serviettes en ratine moelleuses et épaisses auxquelles une partie du sable de la plage est resté collé. Après quelques jours d’un tel manège, les serviettes dégagent une odeur de fond de cave amplifiée par une humidité qui les empêche de sécher complètement. De quoi gâcher ce qui devait n’être qu’un voyage agréable.
Au retour à la maison, les mamans décident de s’attaquer au problème et de le résoudre. Persévérantes et obstinées, ne trouvant pas de produits répondant à leur besoin, elles multiplient les recherches et s’instruisent sur les différents tissus et leurs propriétés. J’arrête ici à propos de l’anecdote historique. Si le cœur vous en dit, vous la retrouverez de façon plus détaillée sur le site web Solem.ca.
Dernier détail qui satisfera ceux qui s’interrogent sur la signification du mot Solem. Ce nom est la réunion de trois éléments. Sol, qui, en espagnol, signifie soleil, du mot Sole (seul, en italien et unique, en anglais) et de l’ajout d’un M, première lettre du prénom des deux amies de longue date, Marie-Hélène Doucet et Mylène Lessard, partenaires dans cette entreprise. Venons-en maintenant au sujet du jour et à notre double évaluation.

Il s’agit donc de serviettes de plages, mais aussi de linges à vaisselle et de débarbouillettes qui, comme leur nom l’indique, sont absolument uniques, et ce, à plusieurs égards. Tout d’abord, elles sont d’une grande douceur au toucher et très mince, ce qui surprend un peu lorsqu’on parle de ce genre d’accessoires.
D’ailleurs, au départ, Michelle, inquiète du potentiel d’absorption d’un tissu d’apparence aussi délicate, changea rapidement d’idée au sortir de la douche. En quelques secondes, la serviette de Solem l’assécha de la tête aux pieds, mettant ainsi en pièce, et de magistrale façon, la Loi de Lambert, ce physicien français ayant démontré que l’absorbance est directement proportionnelle au milieu traversé. Heureusement pour lui, le scientifique parlait d’optique et non d’humidité.
Vint ensuite le tour du linge à vaisselle, test réalisé cette fois par l’expert en essuyage d’assiettes, de verres et d’ustensiles: moi ( Michelle lave et j’essuie). Ma mère m’avait toujours appris que les meilleurs linges à vaisselle étaient fabriqués de lin. C’était il y a des lustres, bien avant l’invention des tissus de microfibres et l’ingéniosité des fondatrices de Solem,
Curieuse, Michelle voulut renouveler l’expérience avec le même linge à vaisselle, gorgé d’humidité, qui venait d’assécher tout ce qui avait servi pour le repas, mais cette fois, sur un verre à vin qu’elle trempa dans l’eau froide. En un tournemain, toute trace d’eau fut effacée laissant le verre immaculé et tout doux au toucher. Nous étions tellement emballés du résultat que nous aurions presque souhaité avoir plus de vaisselle à laver.
On le devine, ces serviettes, linges à vaisselles et débarbouillettes, misent sur un tissu haut de gamme. Réversibles ils présentent des couleurs et des motifs différents de chaque côté, évoquant les vacances et le plein air. Grâce à un processus de teinture par sublimation, ces tissus sauront garder leur éclat sans être sujets à la décoloration. De plus, leur minceur, comparativement à celle de serviettes en ratine épaisse, convient parfaitement à la vie de camping et aux véhicules récréatifs où le rangement devient un défi quotidien.
Évidemment, de telles qualités ont une incidence sur le prix de ces accessoires, mais, pour un travail de qualité, disposer de bons outils qui dureront et y mettre le prix devient presqu’un investissement .
Pour plus d’information, visitez le site solem.ca
Merci pour la découverte
Vous avez bien raison.
Les produits Solem font une grosse différence dans mon quotidien
Tout mon entourage carbure à Solem
Une merveilleuse entreprise de chez-nous
À $150 la serviette je vais devoir me contenter d’une éponge. Mais bravo pour le produit tout de même.
Bravo pour votre article..en effet les produits Solem sont de grande qualité..l’essayer c’est l’adopter..mes Solem font partie de mon quotidien et j’adore tous leurs produits..
Marc,
Je crois que vous avec avez augmenté le prix d’une serviette de 95 $, une erreur de frappe sans doute.
Marc a raison, le coffret camping coûte presque 150$ avec les taxes et livraison.
Michel Caron
J’ai rectifié le tir parce que le commentaire de
Marc ne parlait pas d’un coffret ou d’un ensemble quelconque, mais du prix d’une seule serviette.
Les serviettes sont $55.00 très compétitif pour ce type de serviette