La bousculade annuelle
Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais chaque fois qu’approche la grande migration, on dirait que tout se bouscule en même temps. Comme si le temps voulait nous convaincre de reporter notre départ.
Cinq ou six semaines avant le départ, un calme plat règne. Pourtant, lorsqu’il ne reste plus que trois semaines, je deviens sollicité de toutes parts par des activités (j’allais écrire attaqué, mais j’ai crains que l’on ne me croit devenu parano), des rendez-vous, des réunions, des essais, la tournée de la famille, des amis. Bref, occupé à ne plus savoir ou donner de la tête.
Malheureusement, ces turbulences se répercutent sur mon agenda et des retards surgissent. À preuve, mon carnet hebdomadaire n’a pas été mis à jour le week end dernier comme je m’efforce de le faire depuis le lancement de ce blogue. Faut dire que j’ai toujours eu de la difficulté avec la discipline, qu’elle me soit imposée par d’autres (ou par moi-même, je l’avoue). Pis encore, la présentation du forum ayant été modifié par Gaétan, notre webmestre super efficace, je ne pouvais plus mettre un nouveau texte en ligne.
C’est maintenant réglé puisque vous me lisez. De plus, pour cesser de me sentir coupable de mes retards, j’ai pris la décision que, dorénavant, un nouveau texte sera mis en ligne chaque dimanche matin. Pour y arriver, il me faudra tenir compte des journées où je serai sur la route et de la disponibilité d’un accès wi-fi à l’internet. Qu’à cela ne tienne, je me débrouillerai car, comme le disait, au Moyen-âge, le chevalier Bayard, « À coeur vaillant, rien d’impossible».
Bon, fini les justifications, je retourne à mes préparatifs car le sablier continue de laisse tomber ses grains pour me rappeler que le 15 octobre arrivera bientôt, très bientôt.
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