Échange de cadeaux
Chaque année, au moment de commencer à préparer notre séjour dans le sud, je me mets à la recherche du plan de téléphonie cellulaire et de données internet qui répondra le mieux à mes besoins et à mon appétit de communication. Depuis plus d’une dizaine d’années, je ne jurais que par Vidéotron dont je recommandais l’offre de service autorisant à errer un peu partout aux États-Unis moyennant un tarif convenable et sans frais cachés. Mais voilà, après avoir été consigné à la maison tout l’hiver dernier pour cause de frontière américaine, bloquée, cette semaine je me suis remis au magasinage téléphonique. Et, j’ai trouvé ce qui m’est apparu comme le forfait idéal.
À regret, cela m’a obligé à divorcer de Vidéotron, du moins en matière de mobilité cellulaire. Pour mieux comprendre de quoi il retourne, il faut prendre en considération qu’une des principales préoccupations touchant les nomades qui, durant les prochains mois, se promèneront beaucoup sur le territoire étatsunien résultera de l’impossibilité de capter les chaines québécoises de télévision au sud du 42e parallèle. Fini l’ère de la télé francophone relayée par satellite et captée au moyen d’une antenne parabolique automatique ou sur trépied. Même si dans notre cas, Michelle et moi écoutons peu ou pas la télé à partir des États-Unis — contrairement à notre actuel VR où le téléviseur faisait partie de l’équipement de base, les trois précédents en étaient démunis — pour plusieurs de compatriotes, capter les émissions de chez nous constitue un moyen de garder un contact, si ténu soit-il, avec nos valeurs et nos origines. Contourner cet obstacle au plaisir force donc à trouver un plan B.
Pour les grands nomades dont je fais partie, les opportunités sont peu nombreuses. Heureusement, les semi-nomades comme je plais à les désigner — ceux qui optent pour un séjour de plusieurs mois sur un même emplacement de camping — plus d’un choix s’offrent à eux. Mais aujourd’hui, je m’adresse davantage à la première catégorie de ces « snowbirds ». Pour moi comme pour eux, il m’apparait que la solution passe par les ondes cellulaires. J’utilise ces termes, car je trouve qu’ils reflètent mieux toutes les possibilités d’un téléphone intelligent. Après tout, ces appareils permettent de naviguer sur internet, d’envoyer et de recevoir des courriels ou des textos, de parler et de voir son correspondant en direct et même de téléphoner.
Il y a une vingtaine d’années, les compagnies de télécommunications nous vendaient un quota mensuel estimé en minutes, souvent 100 ou 200 de téléphonie hors frontière. Aujourd’hui, profiter pleinement de toutes les fonctionnalités d’un téléphone intelligent, impose d’accorder beaucoup plus d’importance au volume de données incluses dans le forfait mensuel. Les minutes contingentées d’autant sont désormais remplacées par des appels illimités. Évidemment, pour qui désire voyager aux États-Unis, le forfait idéal doit permettre une libre utilisation, sans frais supplémentaires reliés à l’itinérance, peu importe le côté de la frontière où l’on se trouve.
C’est presque par hasard, en discutant avec Denis Robitaille, directeur du marketing à la FQCC, que celui-ci m’annonça que la FQCC avait développé un partenariat avec Telus, permettant aux membres de la Fédé de profiter d’un tarif ultra avantageux en matière de forfait cellulaire. Après avoir pris connaissance des détails de ce programme, cela me semblait presque trop beau pour être vrai. J’ai donc contacté le service à la clientèle de Telus pour m’assurer que j’avais bien compris. Toutefois, avant de muter vers Telus, j’ai d’abord communiqué avec Vidéotron où l’on m’a confirmé que leurs forfaits actuels ne leur permettaient pas de lutter avec l’offre négociée par la FQCC avec leur compétiteur.
Pour un montant à peu de chose près similaire à Telus, on m’offrait sept gigaoctets de données Canada — États-Unis par mois alors que ce dernier proposait des données illimitées. Pour moi, le choix était limpide et je pourrai donc partir tranquille sans avoir à me soumettre à une diète amaigrissante de données. L’offre Canada-ÉU de Telus est à double volet. D’une part les données mensuelles sont illimitées, cependant, on doit acheter un forfait déterminé de données à haute vitesse, variant entre 20 et 50 gigaoctets. Selon le volume pour lequel on opte, la vitesse de transmission sera réduite une fois le quota atteint, mais il sera alors possible de naviguer à vitesse réduite pour le reste du mois. Mieux encore, ces données sont partageables, ce qui signifie que je peux les utiliser pour mon téléphone, ma tablette ou mon ordinateur portable ou les appareils de Michelle. Comme il est possible de modifier ce plan à volonté et d’ajouter ou de diminuer les données au besoin, j’ai opté pour le plan le moins dispendieux, à 20 gigaoctets, d’autant plus que Michelle, qui possède son propre iPhone, en aura autant. Cela nous fera donc 40 gigaoctets à haute vitesse par mois.
En guise de comparaison, il y a deux ans, nos deux forfaits totalisaient une quinzaine de gigaoctets. Ce quota atteint, nous devions attendre que débute une nouvelle période pour que l’accès à l’internet revienne. Je suis certain que cette année, nous n’aurons aucun mal à survivre à une vitesse plus lente en cas d’un dépassement. Comme une bonne chose ne vient jamais seule, Telus a mis sur pied un système de référencement intéressant. Ainsi, si je recommande une personne membre de la FQCC, elle et moi profiterons d’un rabais de 50 dollars sur la facture qui suivra la référence.
Évidemment, ce cadeau implique que la personne référée devient cliente de Telus. Si cela vous semble intéressant, expédiez-moi un courriel à laquerre@me.com et il me fera grand plaisir de vous patronner. Ce sera notre échange de cadeaux pour ce Noël — est-ce que j’ai encore le droit d’écrire ce mot en N ?
Chaque année, au moment de commencer à préparer notre séjour dans le sud, je me mets à la recherche du plan de téléphonie cellulaire et de données internet qui répondra le mieux à mes besoins et à mon appétit de communication. Depuis plus d’une dizaine d’années, je ne jurais que par Vidéotron dont je recommandais l’offre de service autorisant à errer un peu partout aux États-Unis moyennant un tarif convenable et sans frais cachés. Mais voilà, après avoir été consigné à la maison tout l’hiver dernier pour cause de frontière américaine, bloquée, cette semaine je me suis remis au magasinage téléphonique. Et, j’ai trouvé ce qui m’est apparu comme le forfait idéal.
À regret, cela m’a obligé à divorcer de Vidéotron, du moins en matière de mobilité cellulaire. Pour mieux comprendre de quoi il retourne, il faut prendre en considération qu’une des principales préoccupations touchant les nomades qui, durant les prochains mois, se promèneront beaucoup sur le territoire étatsunien résultera de l’impossibilité de capter les chaines québécoises de télévision au sud du 42e parallèle. Fini l’ère de la télé francophone relayée par satellite et captée au moyen d’une antenne parabolique automatique ou sur trépied. Même si dans notre cas, Michelle et moi écoutons peu ou pas la télé à partir des États-Unis — contrairement à notre actuel VR où le téléviseur faisait partie de l’équipement de base, les trois précédents en étaient démunis — pour plusieurs de compatriotes, capter les émissions de chez nous constitue un moyen de garder un contact, si ténu soit-il, avec nos valeurs et nos origines. Contourner cet obstacle au plaisir force donc à trouver un plan B.
Pour les grands nomades dont je fais partie, les opportunités sont peu nombreuses. Heureusement, les semi-nomades comme je plais à les désigner — ceux qui optent pour un séjour de plusieurs mois sur un même emplacement de camping — plus d’un choix s’offrent à eux. Mais aujourd’hui, je m’adresse davantage à la première catégorie de ces « snowbirds ». Pour moi comme pour eux, il m’apparait que la solution passe par les ondes cellulaires. J’utilise ces termes, car je trouve qu’ils reflètent mieux toutes les possibilités d’un téléphone intelligent. Après tout, ces appareils permettent de naviguer sur internet, d’envoyer et de recevoir des courriels ou des textos, de parler et de voir son correspondant en direct et même de téléphoner.
Il y a une vingtaine d’années, les compagnies de télécommunications nous vendaient un quota mensuel estimé en minutes, souvent 100 ou 200 de téléphonie hors frontière. Aujourd’hui, profiter pleinement de toutes les fonctionnalités d’un téléphone intelligent, impose d’accorder beaucoup plus d’importance au volume de données incluses dans le forfait mensuel. Les minutes contingentées d’autant sont désormais remplacées par des appels illimités. Évidemment, pour qui désire voyager aux États-Unis, le forfait idéal doit permettre une libre utilisation, sans frais supplémentaires reliés à l’itinérance, peu importe le côté de la frontière où l’on se trouve.
C’est presque par hasard, en discutant avec Denis Robitaille, directeur du marketing à la FQCC, que celui-ci m’annonça que la FQCC avait développé un partenariat avec Telus, permettant aux membres de la Fédé de profiter d’un tarif ultra avantageux en matière de forfait cellulaire. Après avoir pris connaissance des détails de ce programme, cela me semblait presque trop beau pour être vrai. J’ai donc contacté le service à la clientèle de Telus pour m’assurer que j’avais bien compris. Toutefois, avant de muter vers Telus, j’ai d’abord communiqué avec Vidéotron où l’on m’a confirmé que leurs forfaits actuels ne leur permettaient pas de lutter avec l’offre négociée par la FQCC avec leur compétiteur.
Pour un montant à peu de chose près similaire à Telus, on m’offrait sept gigaoctets de données Canada — États-Unis par mois alors que ce dernier proposait des données illimitées. Pour moi, le choix était limpide et je pourrai donc partir tranquille sans avoir à me soumettre à une diète amaigrissante de données. L’offre Canada-ÉU de Telus est à double volet. D’une part les données mensuelles sont illimitées, cependant, on doit acheter un forfait déterminé de données à haute vitesse, variant entre 20 et 50 gigaoctets. Selon le volume pour lequel on opte, la vitesse de transmission sera réduite une fois le quota atteint, mais il sera alors possible de naviguer à vitesse réduite pour le reste du mois. Mieux encore, ces données sont partageables, ce qui signifie que je peux les utiliser pour mon téléphone, ma tablette ou mon ordinateur portable ou les appareils de Michelle. Comme il est possible de modifier ce plan à volonté et d’ajouter ou de diminuer les données au besoin, j’ai opté pour le plan le moins dispendieux, à 20 gigaoctets, d’autant plus que Michelle, qui possède son propre iPhone, en aura autant. Cela nous fera donc 40 gigaoctets à haute vitesse par mois.
En guise de comparaison, il y a deux ans, nos deux forfaits totalisaient une quinzaine de gigaoctets. Ce quota atteint, nous devions attendre que débute une nouvelle période pour que l’accès à l’internet revienne. Je suis certain que cette année, nous n’aurons aucun mal à survivre à une vitesse plus lente en cas d’un dépassement. Comme une bonne chose ne vient jamais seule, Telus a mis sur pied un système de référencement intéressant. Ainsi, si je recommande une personne membre de la FQCC, elle et moi profiterons d’un rabais de 50 dollars sur la facture qui suivra la référence.
Évidemment, ce cadeau implique que la personne référée devient cliente de Telus. Si cela vous semble intéressant, expédiez-moi un courriel à laquerre@me.com et il me fera grand plaisir de vous patronner. Ce sera notre échange de cadeaux pour ce Noël — est-ce que j’ai encore le droit d’écrire ce mot en N ?
Très intéressant
Le dernier hiver 2019-2020 où nous étions en Floride jusqu’au retour Covid, nous étions avec TELUS. Nous avions un forfait qui nous donnait 10 gig avec données partageables. Ensuite on tombait en basse vitesse. Nous avons bien aimé ce forfait Canada-États-Unis. Les communications téléphoniques étaient toujours claires, pas de friture sur la ligne et l’Internet est très fiable. Comme tous nos services en télécommunication sont avec TELUS, nous allons pouvoir encore en profiter le printemps prochain lorsque nous partirons pour le « grand circle road trip » en Arizona, Utah, Nouveau-Mexique.
Intéressant, je suis avec Telus, quels sont les antennes utilisées par Telus au usa? Pensez vous que la qualité va être similaire dans l’Ouest Américain, nous aussi visite des parcs américains au menu le printemps prochain.
Le forfait semble s’être raisonnable , je prendrais le 20 gig à 65$ plus taxe.
Paul
Pas fort fort l’offre Telus via la FQCC
L’offre pour 30g illimité Canada/Us est de 70$/mois via la FQCC. Je peux avoir directement avec Telus (Offert vie leurs site Web) un forfait 60g illimité Canada/Us pour 90$/mois.
Michel+Caron,
Je viens tout juste de vérifier les rabais offerts par Telus pour souligner le vendredi fou et voici ce que j’ai trouvé : Pour une durée limitée, économisez 15 $/mois sur un forfait Illimité 40 Canada – États‑Unis.
Profitez de 40 Go de données haute vitesse et les appels et les textos illimités au Canada et aux États-Unis pour 80 $ par moisRead legal footnote7. Économisez un total de 360 $ sur 2 ans.
Je crois que l’on est loin du compte de l’offre négociée par la FQCC.
Paul
Sur le site Web Telus regarder dans la section « Forfaits » et ensuite ouvrir l’onglet « Forfaits Canada – Etats Unis » et l’offre de 60g illimité pour 90$ y sera.
https://www.telus.com/fr/qc/mobility/plans?linktype=ge-meganav
Rien a voir avec le vendredi fou.
Je ne suis pas membre de la FQCC, donc je n’ai pas accès au différents forfaits proposés, il serait intéressant de les retrouver ici. Ça serait peut-être un incitatif pour moi à devenir membre de la FQCC.