Biscayne National Park
Cette petite merveille est le parc national Biscayne, situé à la pointe sud-est de la Floride, directement sur le bord de la mer des Caraïbes. En fait, ce parc maritime est avant tout sous-marin. Il longe le littoral de la baie de Biscayne où l’eau, très peu profonde, abrite coraux et poissons tropicaux multicolores.
N’y cherchez pas d’emplacements de camping pour véhicules récréatifs. Tout au plus pourrez-vous y planter une tente les iles de Boca Chita ou Elliot Keys, à condition de vous y rendre en bateau.
Comme plusieurs, je me suis contenté d’aller au Centre d’accueil Dante Fascell d’où l’on a une vue magnifique sur cette portion de mer parsemée d’îles à fleur d’eau. Une promenade aménagée de moins d’un kilomètre permet de longer le rivage et d’observer les amateurs de pêche taquiner le poisson.
À la différence des autres, ce parc national n’exige pas de frais d’entrée pour y accéder. Juste à côté, un autre petit parc agrémenté d’une marina, appartenant à la ville de Homestead, demande quelques dollars à ses visiteurs.
Je le soulignais en début de carnet, Biscayne NP respire le calme et la tranquillité. On pourrait même le qualifier de zen avec son eau aux reflets turquoise. Chaque pas que l’on y fait remplace le stress par la relaxation.
Au centre d’accueil, il est possible de louer un kayak ou un autre type d’embarcation et se laisser dériver sur les eaux calmes de la baie. On peut également opter pour une ballade à bord d’un petit bateau à fond de verre et observer de très près la faune aquatique. Quant à ceux qui préfèrent demeurer sur la terre ferme, ils peuvent toujours utiliser les magnifiques chaises berçantes en bois sur la grande véranda, à l’étage du centre d’accueil tout en dégustant une crème glacée.
Pour échapper à la folie des autoroutes et des enfilades de magasins, être de Miami ou des environs, j’irais me reposer là très souvent.
C’est le genre d’endroit que j’aime !!! la paix !!!
Il n’y en a pas assez !! l’an prochain nous allons aller au Keys je veux passer par là !!
merci Paul pour tes chroniques nous sommes des « lecteurs-campeurs » assidus !